Aalaapi « Faire silence pour entendre quelque chose de beau »
Créé par le Collectif Aalaapi d’après un documentaire sonore de Magnéto
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Jeudi 24 février à 19 h 30
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Vendredi 25 février à 19 h 30
Créé par le Collectif Aalaapi d’après un documentaire sonore de Magnéto
Situé au Nunavik, et combinant ingénieusement l’esthétique de la radio et du théâtre, Aalaapi | ᐋᓛᐱ est une pièce où le spectateur se retrouve comme un étranger voyageant au nord du 55e parallèle. Les sens en éveil, les spectateurs se positionnent en voyeurs, témoin de la vie de deux femmes inuites dont ils connaissent très peu les réalités. Ils sont invités à écouter avec patience pour accéder à ce monde étranger. Créé à l’origine sous forme de balado documentaire, le projet raconte l’histoire de jeunes femmes inuites qui racontent leur vie entre Montréal et le Nunavik, leurs aspirations, leur passé, mais surtout, leur présent et leur avenir.
Spectacle en français/anglais/inuktitut et parfaitement accessible tant aux francophones qu’aux anglophones dans son format original.
Public visé : tout public à partir de 10 ans
Billetterie également disponible
par téléphone au 506 855 0001 – poste 207
Bande annonce: Aalaapi | ᐋᓛᐱ fait place à l’imagerie sonore et plonge l’auditeur au cœur de la vie des jeunes femmes dans une formule qui révèle la puissance de leur parole, de leurs histoires et de leur devenir. Ensemble, elles écrivent une radio à la fois imprévisible, surprenante et touchante.
Le Théâtre populaire d’Acadie accueillera le collectif AALAAPI et leur spectacle du même nom le 22 février 2022 à 19 h 30 au Centre culturel de Caraquet. Voici Allain Roy en entrevue avec Laurence Dauphinais, qui est à l’origine du projet et qui en signe la mise en scène.
Idée originale : Laurence Dauphinais + Marie-Laurence Rancourt
Mise en scène : Laurence Dauphinais
Réalisation du documentaire sonore : Magnéto – Marie-Laurence Rancourt + Daniel Capeille
Interprétation : Nancy Saunders + Ulivia Uviluk
Scénographie : Odile Gamache
Lumières : Chantal Labonté
Musique : Antonin Wyss
Son : Joël Lavoie
Vidéo : Guillaume Vallée
Assistance à la mise en scène : Charlie Cohen
Assistance à la scénographie : Nancy Saunders
Traduction : Brett Donahue + Nicolas Pirti-Duplessis
Animation : Camille Monette-Dubeau
Direction de tournée : Charlotte Ménard
Direction technique et éclairages en tournée : Chantal Labonté
Sonorisation et vidéo en tournée : Joël Lavoie
Régie : Amélie-Claude Riopel + Charlie Cohen
Direction de production à la création : Letícia Tórgo
Membres du Collectif Aalaapi | Audrey Alasuak + Daniel Capeille + Laurence Dauphinais + Mélodie Duplessis + Caroline Jutras-Boisclair + Samantha Leclerc + Louisa Naluiyuk + Akinisie Novalinga + Marie-Laurence Rancourt + Nancy Saunders + Hannah Tooktoo
Production et tournée : La Messe Basse
Collaboration à la création : Magnéto avec le soutien de Nouveau Chapitre
Résidences de création Quai 5160, maison de la culture de Verdun + Ateliers de LA SERRE – arts vivants + Conseil des arts de Montréal
Production et tournée | La Messe Basse
Crédit: Anne-Marie-Baribeau
Collectif Aalaapi
Laurence Dauphinais et Marie-Laurence Rancourt réunissent un collectif d’artistes autochtones et allochtones pour la création de ce spectacle multidisciplinaire singulier. Aalaapi | ᐋᓛᐱ reflète l’envie de ses créateurs de se positionner à contre-courant des images souvent véhiculées sur le Nord. D’ouvrir une porte sur un univers affranchi des clichés et des idées préconçues. C’est une possibilité de rencontre, au sein même de l’équipe et avec le public. C’est une invitation à écouter pour mieux regarder.
« À partir de ce savant assemblage de voix et de bruits, de mots et de silences, d’idées et de confessions, Laurence Dauphinais a imaginé un spectacle de théâtre singulier, un objet de beauté et de lenteur. » Christian Saint-Pierre, Le Devoir
« J’étais émue aux larmes, ils ont eu une idée extraordinaire » Johane Despins, Culture Club, ICI Radio-Canada
« Aalaapi : célébrer le Grand Nord, sa culture et son peuple » Léa Harvey, Le Soleil
« Aalaapi : se taire pour écouter ce qui est beau » Stéphanie Morin, La Presse